Qui sommes-nous ?
Enquêteur privé, quel cadre légal ?
La profession d’Agent de Recherches Privé est une profession réglementée, régie pas le code de la Sécurité Intérieure. Nous sommes soumis à un code de déontologie et à plusieurs numéros d’agrément délivrés par le Conseil National des Activités Privées de Sécurité (CNAPS). Une formation est obligatoire pour pouvoir exercer. Nous sommes couverts par le secret professionnel, et tous nos rapports sont recevables en justice.
Les enquêteurs privés peuvent être d’un grand intérêt dans beaucoup de domaines. Ils peuvent collaborer avec les forces publiques ou encore les professions juridiques telles que les avocats, les huissiers, les notaires, etc. Un enquêteur privé peut aussi être appelé par une institution publique. La réglementation en place garantie la réalisation des missions dans le respect de la loi, et apporte donc crédibilité et confiance, mais également un certain poids dans le dossier.
Toutes les enquêtes sont différentes, il est donc difficile de présenter des forfaits définitifs. Une enquête varie en fonction de la localisation, des déplacements nécessaires, des procédures payantes ou non, des complications, de la variante internationale, etc. Le coût global d’une mission dépendra donc du temps estimé, des moyens à mettre en œuvre et des potentielles difficultés.
Il est préférable d’organiser un rendez-vous pour discuter pleinement de votre demande et ainsi nous permettre d’estimer au mieux les coûts de l’enquête.
Mon parcours
L’Agence Art’théna Investigations est le fruit d’une motivation qui dure depuis de nombreuses années. Participer à la lutte contre le trafic de biens culturels a toujours fait partie de mes objectifs professionnels, je voulais apporter ma pierre à l’édifice.
Après une Mise à Niveau en Arts Appliqués (MàNAA), j’ai décidé de me diriger vers une licence bi-disciplinaire en Droit et Histoire de l’Art. Pour ma troisième année, j’ai intégré une Licence en Droit de l’Art et du Patrimoine Culturel, ce qui m’a permis d’apprendre les règles régissant la culture et le patrimoine en France. Pour mes masters, j’avais envie d’en apprendre davantage sur l’immense monde qu’est le numérique. De plus, étant toujours intéressée par le marché de l’art, je me rendais bien compte en suivant l’actualité que ce marché utilisait de plus en plus les outils informatiques. Je me suis donc orientée vers un Master 1 et 2 en Droit du Numérique, mention Cybersécurité. Ces deux années m’ont permis d’appréhender les problématiques liées aux nouvelles technologies, de comprendre comment fonctionne l’informatique, et surtout de savoir utiliser le matériel informatique de façon efficace. C’est donc à la suite de mon Master 2 que j’ai intégré la formation Titre à l’IFAR, à Montpellier.